Proposer un élan de paix commun pour une automodération et une communication non-violente en tant qu’outil diplomatique de droit souple : proposer de faire signer conjointement la charte par des structures en conflit.

Cette proposition permet d’utiliser la charte du respect en ligne, mais aussi hors ligne et de rapprocher des parties en tension. Signer la charte Respect Zone et labelliser conjointement les outils numériques par des communautés de progrès et de concorde, telles que des municipalités, d’un côté et de l’autre d’une frontière en conflit, ou d’autres structures comme des associations professionnelles (exemple des barreaux d’avocats : faire signer la charte au même moment par le Barreau d’Hébron et celui de Jérusalem, sous l’égide du Barreau de Paris), des ordres de médecins, des écoles, des dispensaires, des organes de presse ou de communication, des hôpitaux, des associations, etc.

L’outil du respect est également utile pour poser les règles de courtoisie, de respect et d’écoute de l’autre pour une communication non-violente dans le cas de la recherche de résolution de conflit et de mode de résolution alternative des conflits (comme en matière de médiation par exemple). La remédiation au conflit concerne aussi les problèmes de voisinage et commence aussi dans sa cage d’escalier, lorsque des voisins en viennent presque aux mains. Signer le respect, c’est reconnaître l’autre dans son droit à être respecté en tant qu’être humain.

Avancement du projet
40%